Un Ange à l'Opéra des Secrets
Le philosophe errait
mais là, sans vraiment plus savoir
où il était, allait et voullait aller
il décida d'aller voir l'Ange.
De son plein gré, il partit en pleine campagne,
sur les routes de lanuit et du silence.
Il n'avait plus que comme compagnon Lo'Jo,
chantant le bazar hétéroclite de l'existence.
- Je te confie tout mes secrets, même ceux où je deviens fou, où je ne suis plus qu'un philosophe de facade. Je crois que ma personnalité est triple, que je ne suis qu'une bête que le désir mussele et un toxico du faire et du savoir.
- Je te trouve très un
- et toi, tu ne parles pas, ou si tu parles, que j'en sais tout de ta vie, mais tu le dis comme si rien n'avait d'existence et de sens. tu n'es pas Jovial et tu n'as de problème. Tu es si humaine et si inhumaine. Que je ne comprends pas, que je ne comprends pas et donc que j'aime et que je désire. Pour seulement tes yeux et tes questions.
Sans vouloir me les accaparer, sans vouloir y répondre.
Je ne siis pas ce que je veux de toi, et c'est pour ça que je suis venir ce soir, faire saigner mon coeur à tes pieds et devant ton silence attentif. Je suis venu chercher un sens dans tes phrases surprenantes et tes sourires infinis.
Je ne recherches rien de précis chez toi, tu es donc différentes de ce que je cotoie.
Que peux-t-on demander d'un ange?
Qu'est ce qu'un philosophe peut demander à une Djinn?
Ce soir, nous nous rejouons Hamlet, tu me fredonnes au violoncelle, les poèmes dont je ne souviens pas, et que pourtant j'ai écrit sur les toiles de ton art.
Dehors la nuit renferme sa beautée, et l'heure renferme la soirée mondaine qui va suivre.
Ce soir, j'ai ouvert la pièce, et tu me donnes la réplique à chaque tirade. Je ne percois pas les actes et les pièces, pourtant les paroles et les gestes sont là.
Ce soir, nous jouons à l'Opéra des Secrets.
Je tiens le rôle du Philosophe face à l'Ange.
mais là, sans vraiment plus savoir
où il était, allait et voullait aller
il décida d'aller voir l'Ange.
De son plein gré, il partit en pleine campagne,
sur les routes de lanuit et du silence.
Il n'avait plus que comme compagnon Lo'Jo,
chantant le bazar hétéroclite de l'existence.
- Je te confie tout mes secrets, même ceux où je deviens fou, où je ne suis plus qu'un philosophe de facade. Je crois que ma personnalité est triple, que je ne suis qu'une bête que le désir mussele et un toxico du faire et du savoir.
- Je te trouve très un
- et toi, tu ne parles pas, ou si tu parles, que j'en sais tout de ta vie, mais tu le dis comme si rien n'avait d'existence et de sens. tu n'es pas Jovial et tu n'as de problème. Tu es si humaine et si inhumaine. Que je ne comprends pas, que je ne comprends pas et donc que j'aime et que je désire. Pour seulement tes yeux et tes questions.
Sans vouloir me les accaparer, sans vouloir y répondre.
Je ne siis pas ce que je veux de toi, et c'est pour ça que je suis venir ce soir, faire saigner mon coeur à tes pieds et devant ton silence attentif. Je suis venu chercher un sens dans tes phrases surprenantes et tes sourires infinis.
Je ne recherches rien de précis chez toi, tu es donc différentes de ce que je cotoie.
Que peux-t-on demander d'un ange?
Qu'est ce qu'un philosophe peut demander à une Djinn?
Ce soir, nous nous rejouons Hamlet, tu me fredonnes au violoncelle, les poèmes dont je ne souviens pas, et que pourtant j'ai écrit sur les toiles de ton art.
Dehors la nuit renferme sa beautée, et l'heure renferme la soirée mondaine qui va suivre.
Ce soir, j'ai ouvert la pièce, et tu me donnes la réplique à chaque tirade. Je ne percois pas les actes et les pièces, pourtant les paroles et les gestes sont là.
Ce soir, nous jouons à l'Opéra des Secrets.
Je tiens le rôle du Philosophe face à l'Ange.